Après cette douloureuse plāga qui maralenti, j'ai dû quand même avancer, car la nox commençait à tomber et lŭpus hurlait à la lūna. Je me suis réfugiée dans une petite partie de la spēlunca où je suis tombée de somnus. Au lendemain matin, dans tĕnēbrae la plus totale je me suis réveillée, autem au bout de 5min je ne voyais toujours hilum. La spēlunca était tellement obscūrus que j'ai dû faire du ignis avec le peu que j'avais. C'est-à-dire deux morceaux de lăpis et une tæda que j'ai prise prōra de partir. J'ai décidé d'aller plus loin dans la spēlunca et au bout d'environ un stade et demi, j'ai trouvé le mŏnīlĕ posé sur un băsis. Je n'avais qu'à le prendre, autem tous cela était trop făcĭlis et j'ai eu un mauvais praesensĭo.